sous la direction de Catherine Dupont et Grégor Marchand
La fouille de ce site de référence pour la fin du Mésolithique dans l’Ouest de la France est liée à sa mise en péril par l’érosion marine et anthropique. L’épais niveau archéologique a livré une quantité très importante de vestiges (ossements de mammifères, restes de crabes, de poissons, d’oiseaux, coquilles marines, silex taillés, parures,…) dans des conditions stratigraphiques exceptionnelles.