Avec le départ de Grégor Marchand le 1er juin dernier, la Préhistoire perd un des chercheurs les plus brillants et charismatiques de sa génération. Lui rendre hommage à travers ces quelques lignes est un exercice périlleux parce que sa carrière a été d’une richesse incroyable et atteindre l’exhaustivité est impossible. C’est également une démarche douloureuse parce qu’au-delà du collègue brillant, c’est un ami très cher qui nous a quittés et qu’il est encore difficile de prendre le recul nécessaire afin de retracer son parcours et les innombrables apports de ses recherches.